vendredi 3 juillet 2009
Bonsoir tout le monde!
Bonnes vacances à tous et merci pour ce semestre.
Luciana
jeudi 2 juillet 2009
LE HOMME DE MA VIE
LE HOMME DE MA VIE EST BLOND ET IL A DES YEUX VERTS. IL N’EST PAS PETIT, IL EST TRÈS FORT ET ÉLÉGANT. LE HOMME DE MA VIE EST CALME, TRANQUILLE, GENTIL ET DRÔLE. IL EST PARFAIT, PARFAIT POUR MOI. IL EST INTELLIGENT, STUDIEUX ET, PRINCIPALEMENT, ROMANTIQUE. LE HOMME DE MA VIE S’APPELLE PAULO. J’AIME LE HOMME DE MA VIE.
LE WEEK-END PASSÉ ET LE MANIE-TOUT
LE SAMEDI, J’AI DÉJEUNÉ AVEC MON MARI ET MA FAMILLE DANS UN RESTAURANT TRÈS CHIC POUR L’ANNIVERSAIRE MA FRÈRE.
L’APRÈS-MIDE, MON MARI ET MOI SOMMES ALLÉS AU CINÉMA. NOUS AVONS REGARDÉ LE FILM “2012”. TRÈS IMPRESSIONNANTE!!!
LE DIMANCHE, JE SUIS RESTÉE CHEZ MOI, PUISQUE IL FERA FROID.
LA NUIT, JE VOULAIS LAVARDER, QUAND LE TÉLÉPHONE A SONNÉ. C’ÉTAIT MA MÈRE. ELLE A PARLÉ PENDANTE 2 HEURES ET JE NE SUIS PAS ALLÉ.
LE MANIE-TOUT
LE MANIE-TOUT EST L’HISTOIRE D’UN GARÇON QUI S’APPELLE MARTIN ET IL A 10 ANS PLUS OU MOINS. ÇA ÉTAIT LE COURT METRAGE QUI J’AI VU DANS UNE CLASSE DE FRANÇAIS. MALHEUREUSEMENT, LE GARÇON A UN FRÈRE QUI NE POUVAIT PAS MARCHER, IL ÉTAIT UN HANDICAPÉ PHYSIQUE. UN JOUR, MARTIN ALLAIT À ÉCOLE, QUAND IL A VU MAISON BEAUCOUP ÉTRANGE. IL A ÉPIÉ POUR LA FENÊTRE. IL A OBSERVÉ UN MANIE-TOUT TRAVAILLER. LE MANIE-TOUT RÉPARAIT BEAUCOUP DES CHOSES. MARTIN A EU UNE GRAND IDÉE QUI IL A EXÉCUTE DANS LE JOUR. SUIVANT, MARTIN A PORTÉ SU FRÈRE A LA ÉTRANGE MAISON POUR TROUVER LE MANIE-TOUT. IL A CRU QUI LE HOMME POURRA GUÉRIR SU FRÈRE. DANS LE CURT METRAGE, IL N’Y A PAS CLAIR SI LE FRÈRE A RETOURNÉ À MARCHER OU SI IL Y A EU IMAGINATION DE MARTIN.
mercredi 1 juillet 2009
Gratte-Papier
Le femme de ma vie
Le Manie-tout
mardi 30 juin 2009
Le garçon est sorti du train e est allé à sa maison. La nuit, il a appelé la femme et a invité à diner. Elle n’a pas accepté l’invitation. Elle a dit qu’elle ne pouvait pas sortir.
Sans lendemain, vendredi, le garçon était seul dans sa maison et le téléphone a sonné. Était la femme. Elle l’a invité à sortir avec elle pour diner. Le garçon a dit oui.
Le soir ils sont allés manger au restaurant à Paris et ils ont bavardé beaucoup. Ils se sont rencontrés une fois de plus.
Ils se rencontraient tous les vendredis. Les rencontres duraient deux mois.
Un jour la femme n’a pas apparu et le garçon lui a téléphonée, mas elle n’a pas répondu au téléphoné.
Après une semaine le garçon était retournait du travail et il a trouvé la femme été devant à son appartement. Ella dit qui était mariée et qui son époux a retourné d’un voyage et qui ils ne pourvoyaient pas se rencontrer.
Elle s’en est allée et ils plus jamais se sont rencontrés.
Gratte-papier: Au téléphone
La femme: Alo. Qui parle?
Le garçon: Je suis le garçon du train. Tu as donné le numeró de téléphone...
Le femme: Oui... Je attentais pour ton contact. J’étais très anxieux pour parler avec toi.
Le garçon: J’étais très inquiet parce que je voulais parler avec toi aussi.
Le femme: Je m’appelle Sophie. Comment tu t’appelles?
Le garçon: Je m’appelle Vincent. Quand j’ai vu toi, j’ai senti un émotion. J’ai pensé que belle femme! Le plus belle!
Le femme: Merci! J’ai trouvé toi un garçon beaucoup habile avec les paroles… et très gentil. Fasciné, j’ai écrit le numeró de téléphone...
Le garçon: Merci. On va rencontrer demain? Je voudrais beaucoup.
Le femme: Oui! À la gare du Nord, voie 9, on midi.
Le garçon: D’accord. À demain.
Le femme: Au revoir!
Gratte papier
Après il a vu qu'une autre femme restait à ses côtés. Il a fait la même chose que avec l'autre femme, parce que tout le monde la regardait. Pour sa surprise, la femme a dit qu'elle voulait embrasser l'homme à l'intérieur du train. Alors, il l'a regardée. Mais elle était un homme!!
Gratte papier
Il est Ferdinand un homme romantique.
Ils se sont regardés dans le voyage du train.
Mórdi a passé le numéro de téléphone à Ferdinand...
donc Ferdinand (...) Alô! Bonsoir, je suis Ferdinand l'homme du train.
Mórdi - Oui! Bonsoir Ferdinand, je suis Mórdi (rires) je pensé à vous.
Ferdinand - Ah! Qu'est-ce que vous avez pensé?
Mórdi - Oh! j'ai pensé à vous sourire, à vous regarder (...)
Ferdinand - Je suis ansieux pour vous connaître.
Mórdi - Qu'est-ce que vous aimez?
Ferdinand - J'aime pratiquer du sport et j'aime aussi rien faire...
Mórdi - C'est intéressant!
Ferdinand - Non, maintemant, je vous écoute.
Mórdi - J'aime beaucoup de choses (...)
Ferdinand - Je parlais avec vous dans le train à travers les mots du livre, mais je voulais écouter votre voix.
Mórdi - Ah! oui
Ferdinand - Mórdi allons dîner le vendredi?
Mórdi - Oui, oui
Ferdinand - A la prochaine.
La belle histoire de la jeune du train
Quelqu'un: Oui?
Le Garçon: hããããã....
Quelqu'un: qui est à l'appareil??
Le garçon: hmmm... le monsieur est le propriétaire du téléphone? C'est pas le téléphone d'une fille? Ditez à elle que je suis le garçon du train!!!
Le monsieur (quelqu'un): Non non... Ici il n'y a pas de femme. Seulement moi. Au revoir!!!
Le garçon: attendez!!! attendez!!!
Le monsieur: tu..tu..tu...
Le garçon: Alô!! alô!!
Le monsieur: Non, c'est la...
Le garçon: Fille, c'est moi. Le garçon du train, nous avons parlé par les mots du livre.
Le monsieur: Oui, oui.... mais je ne suis pas la femme du train...
Le garçon: aaa... oui... au revoir.
Gratte-Papier, la poursuite de l'histoire...
Il a quitté la gare de La Défense. Il a doublé la feuille de papier avec le numéro de téléphone de Sofia. Il seulement pensait à son visage. il a dormi et rêvé avec elle.
Il rêve qu'ils avaient été mariés. Elle était infirmière et il était chef de la cuisine dans l’hotel Plaza Champs Elysèes. Un mois plus tard elle a perdu l'emploi et a été beaucoup déprimée.
ils ont acheté une maison et une voiture. Ils avaient beaucoup de dettes. Ils avaient beaucoup d'enfants. Elle a été graisse et il a commencé à boire trop. l'amour entre eux a diminué.
ils ont discuté tous les jours... la vie devient un enfer!!!!
Soudain, il s'est réveillé et a sauté du lit. Il a regardé par la fenêtre et et a repéré La Tour Eiffel. il n'était plus rêver ... il était à Paris.Il s’est habillé et a déchiré le papier avec le numéro de téléphone de Sofia.
Maintenant, il était calme...
Maintenant, il pourrait travailler à nouveau...
Puis il quitte et prend le métro.
Il a un livre sous le bras...
lundi 29 juin 2009
Le manie-tout
´
Le lendemain Martin est allé à l'étrange maison avec son frère et ils ont regardé le vieil donner vie à plusieurs choses. Le vieil a fait le frère de Martin marcher et ils s’en sont allés à leur maison en marchant et en courant.
Le lendemain Martin est retourné à l'étrange maison, mas elle était vide.
En quête d'amour
« Allô ! » a répondu une voix douce et fraîche.
« Salut ! Est-ce que... » il s’est interrompu lui-même ; il était nerveux.
« C’est de la part de qui ? »
« Moi, c’est Georges à l’appareil. L’homme du métro... »
« Quelle surprise ! Très vite, n’est-ce pas ? » a-t-elle ri.
« Alors, je sais qu’il peut sembler étrange, mais... depuis que tu t’est assise auprès de moi, je n’ai pas pu m’empêcher de... penser à toi. Les regards disaient tout... »
La fille a rigolé.
« T’habites à Paris ? » a-t-elle voulu savoir.
« Ouais, j’habite dans le 17ème arrondissement. Mon appartement se trouve à quelques minutes à pied de la station Pereire. Et toi, t’habites où ? »
« À Neuilly-sur-Seine. Où est-ce que tu es maintenant ? »
« À la station Concorde. Je suis descendu du train pour te téléphoner. Je voudrais écouter ta belle voix ! »
Il y eu silence de l’autre côté de la ligne.
« Tiens, je comprends que tu puisses être très effrayée par mon attitude, mais... » la fille l’a interrompu.
« Absolument pas ! Je suis sûre de moi. Je suis comme toutes les autres femmes du 21ème siècle. »
« Bon, est-ce qu’on sort ensemble ce soir ? Donc on peut prendre un verre... »
« Bonne idée, oui. À quelle heure on se retrouve ? »
« Disons 19 heures, ça te convient ? »
« Mais non... On se retrouve à 16 heures au Café Renard. Il est niché au cœur du Jardin des Tuileries. C’est le plus proche de la Place de la Concorde. »
« Ouais. Tout à fait. À tout de suite ! »
La femme a raccroché. Alors Georges s’est rendu compte qu’il avait oublié de lui demander son nom ! « Comment s’appelle cette voix-là ? Jacqueline, Marie Claire, Françoise...? » rêvait le garçon. Ses yeux rêveurs étaient soutenus par un petit sourire agréable, comme si le garçon planait. Il avait l’impression de se détacher de soi...
À 16 heures pile, Georges est arrivé au lieu du rendez-vous. Il était excité comme une puce et ne tenait plus en place. Toutefois, il n’avait pas oublié le bouquet des fleurs. Ses mains transpiraient, il avait les oreilles en feu et ses yeux parcouraient, énervés, le Café Renard à la recherche de cette femme séduisante et singulière. Peu importait le passé. Le présent, c’était le rendez-vous avec elle, la rencontre pour envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Enfin il allait la rencontrer.
Un instant d’hésitation. « Est-ce que c’est elle là-bas? » s’est étonné Georges lorsqu’il a aperçu une jeune fille qui traversait la rue. « Mince alors ! », a-t-il juré. Ce n’était pas elle. Les secondes semblaient interminables…
« Est-ce que je suis en retard ? »
Georges a sursauté, en laissant tomber les fleurs par terre.
« C’est pour moi ? » a-t-elle demandé, en s’approchant de lui.
« Bien sûr, mademoiselle. Tiens ! »
Il lui a presenté un bouquet cassé et mutilé, avec des fleurs brisées.
« C’est gentil, merci. Au fait, je m’appelle Sophie. Enchantée » lui a-t-elle dit, en tendant la main à lui.
« Moi, j’suis Georges. C’est un plaisir de faire ta connaissance » a-t-il répondu, rempli de joie, en sentant les mains moelleuses et délicates de Sophie.
Les deux se sont promenés dans Paris par des heures et des heures. Ils bavardaient, ils riaient, ils philosophaient sur la vie. Fatigués par la promenade, ils se sont assis sur un banc confortable au bord de la Seine. La nuit tombait. Un vent doux commençait à souffler. Ils ne disaient rien ; le silence parlait bien plus. Le vent passait sur eux, à travers eux, comme s’il n’y avait personne autour. Le regard de Sophie suivait le trajet des bateaux, qui semblaient glisser comme par magie sur la rivière. On était en juin, Paris était en fête...
Soudain, ses mains, incontrôlables, se sont touchées. Le cœur de Georges battait de plus en plus vite. Il devait faire quelque chose... « Le moment est venu d’agir » a-t-il pensé. Avant qu’il pût s’exprimer, Sophie s’est tournée vers lui avec le sourire le plus beau qu’il n’avait encore jamais vu. Il a senti le désir de l’embrasser en ce même instant. Alors elle l’a regardé profondément dans ses yeux et, doucement, a dit :
« Je t’attendais pendant toute ma vie... »
Georges n’a pas hésité : ses lèvres sont parties à la recherche des siennes. Ses langues se mélangeaient, s’enroulaient, se donnaient. Georges défrichait les territoires inexploités de cet amour naissant, qui a jailli de son intérieur juste à ce moment-là.
« Je t’accompagnerai . Pour toujours. »
* * *